L'émotionomètre est au maximum...

Ces jours ci, j'ai l'impression d'être au printemps. Pour moi, cette saison est propice à être systématiquement à fleur de peau. Nous sommes à l'aube de l'automne et je ressens la même chose.
Peut être est ce du à ce que j'appelle 'crise de quart de vie', ou simplement parce que je me rends compte que je ne pourrais pas indéfiniment fuir ceux à qui je m'attache.

Parce qu'il y a eu la recherche d'appart, ton nouveau statut, ma responsabilité, bref un potentiel éloignement.
J'ai tellement peur que tout soit différent maintenant qu'on ne joue plus dans la même cours.

Parce que comme on me la fait remarquer dernièrement, loin des yeux loin du cœur... Bref, pourtant tu as l'air d'avoir compris que je te manquais vraiment et que tu comptais bien plus sur ma présence que ce que tu as pu avouer.

Parce que le départ de mon coup de cœur 2008 ( je sais c'est pas encore l'heure du bilan mais quand même!), ma fait prendre conscience qu'une surprise au travail est toujours possible, que chez les motivés du charbon, certains sont toujours partant pour un méga craquage, ou juste pour t'écouter.

Parce que avec le recul, j'ai appris à m'éloigne de ce qui pourrais me faire du mal. Même si, je mourais d'envie de te supplier de rester, je savais que j'en n'avais pas le droit. Savoir que t'as pensé à moi en arrivant, ça m'a fait Boum!

J'ai l'impression d'avoir beaucoup pleuré ces derniers jours, c'est pas de la tristesse c'est de l'émotion.
Ça faisait longtemps ...

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